La saison des pluies aura pris son temps mais est finalement arrivée, avec un retard de deux à trois semaines. À moi les joies du T-shirt mouillé à mon arrivée à la fac à 9 heures. À moi les journées mélancoliques à bosser les kanjis. À moi les beach-parties sans feu d'artifice. À moi le linge qui ne sèche jamais. Que de réjouissances en ce mois de juin qui ne se présente que comme le plus pourri de mon existence !
Le mois de mai, en revanche, était plus intéressant avec la visite de ma soeur et de mon beau-frère préférés et la découverte des faune et flore d'Okinawa, notamment.
Rien qu'en se promenant à pied autour des plages à marée basse, on peut croiser des bestioles plus ou moins jolies, plus ou moins dangereuses.
Le kegani (crabe poilu) par exemple, vaut le détour, même si on ne parvient pas à le cadrer :
Il suffit de plonger son appareil-photo (étanche) dans une flaque pour y découvrir un joli petit tableau :
L'idéal est de plonger près des coraux, comme j'ai pu le faire récemment grâce à des amis. On découvre à ce moment-là, et même en faible profondeur, tout un grouillement de vie. Des bans de poissons multicolores, des fugus qui se gonflent et offrent ainsi à voir leurs pics si on les approche, etc. Il ne faut évidemment rien toucher à main nue, sachant qu'une partie de cette faune transmet une maladie incurable qui s'appelle la mort.
Prenez par exemple ce très joli coquillage pourpre qui a l'air inoffensif.
Il s'agit d'un cône, ou cone snail en anglais. Et en cas de contact, couic.
Le mois de mai, en revanche, était plus intéressant avec la visite de ma soeur et de mon beau-frère préférés et la découverte des faune et flore d'Okinawa, notamment.
Rien qu'en se promenant à pied autour des plages à marée basse, on peut croiser des bestioles plus ou moins jolies, plus ou moins dangereuses.
Le kegani (crabe poilu) par exemple, vaut le détour, même si on ne parvient pas à le cadrer :
Il suffit de plonger son appareil-photo (étanche) dans une flaque pour y découvrir un joli petit tableau :
L'idéal est de plonger près des coraux, comme j'ai pu le faire récemment grâce à des amis. On découvre à ce moment-là, et même en faible profondeur, tout un grouillement de vie. Des bans de poissons multicolores, des fugus qui se gonflent et offrent ainsi à voir leurs pics si on les approche, etc. Il ne faut évidemment rien toucher à main nue, sachant qu'une partie de cette faune transmet une maladie incurable qui s'appelle la mort.
Prenez par exemple ce très joli coquillage pourpre qui a l'air inoffensif.
Il s'agit d'un cône, ou cone snail en anglais. Et en cas de contact, couic.
Couic ?
RépondreSupprimerUn couic qui pardonne pas, j'imagine.
RépondreSupprimerPour un compositeur, c'est moins grave que couac finalement.
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